Depuis quelques années, les e-acheteurs confirmés savent que pour tout achat fait sur internet, ils peuvent essayer de chercher un code promotionnel correspondant au site en question. Cuisine, déco, puériculture, hi-fi, ont les trouve dans toutes les catégories de sites mais surtout dans le domaine de la [Lire plus…]
Vous êtes sur le point de choisir votre nouveau blouson moto ou acheter votre premier équipement motard et vous ne savez pas que faire ? Quelle est la matière à choisir Cuir Ou Textile ? Comment entretenir son blouson moto ? Comment différencier un blouson homologué et un cuir de qualité ? Un doute quant au choix de votre taille ? Pas de panique, nous avons réalisé un guide des coupes et des tailles pour que vous soyez sur de faire le bon choix ! Lorsque vous faites face à un blouson moto, et sans être expert, il n'est pas toujours évident de faire un choix technique et économique, tout en maitrisant son budget.
Comment savoir si mes gants sont homologués ?
Rouler sur un deux roues motorisé, au guidon ou en passager, sans porter de gants certifiés, est désormais interdit par la loi. Une norme a été mise en place pour déterminer précisément de quels gants il s’agit. Il faut par conséquent savoir à quoi correspond cette norme.
À partir du décret de septembre 2016 qui a vu son application en fin novembre de la même année, un gant de moto ne vaut pas un autre. Un gant de moto répond dés lors à une norme bien définie, il faudra se conformer obligatoirement à la mesure. La norme en l’occurrence doit être en adéquation avec la classification EPI, équipement de protection individuelle, qui différencie un équipement protecteur d’un autre qui ne l’est pas ou qui semble l’être seulement en apparence.
Lorsqu’il s’agit de poser des conditions et de rendre un équipement obligatoire, on fixe effectivement une norme qui servira de parangon. Comme pour le casque, devenu obligatoire il y a plus de quarante ans et qui devait correspondre à la norme NF, les gants doivent aussi se conformer à une spécification. Le décret indique clairement la nature du modèle de gants moto que l’on doit porter dorénavant, il devra se « conformer à la réglementation relative aux équipements de protection individuelle ». Cette norme correspond au n° EN 13594 :2015, dans sa version la plus récente, elle vous garantit que la protection qu’offrent vos gants pour deux-roues est vérifiée par un laboratoire indépendant. Cela vise vraisemblablement à vous éviter d’acheter un modèle erroné qui risque de se déchirer ou d’éclater à la moindre chute.
Cette norme est rendue plus visible depuis déjà l’année 2015 et porte un nom plus précis : « Gants de protection pour motocycliste ». Les fabricants sont par conséquent tenus d’appliquer et de faire certifier selon cette norme les gants de moto qu’ils produisent et mettent en vente.
Les gants homologués offrent une garantie de protection
Un gant homologué CE, de niveau 1, doit résister à l’abrasion pendant au moins 4 secondes, celui de niveau 2 résiste pendant 8 secondes, c’est l’une des conditions pour pouvoir être certifié et porter les étiquettes qui le prouvent. La résistance de la matière de fabrication, les coutures, la capacité du système à adhérer à votre main en cas de chute, tout a été testés en laboratoire et mis effectivement en évidence. Le renfort supérieur que l’on désigne sous le nom de « coq » et qui se retrouve le plus souvent au-dessus de la main ne semble pas être important au regard de la norme. Cela s’explique par le fait que, lorsque l’on tombe, on projette par réflexe les paumes de la main en avant pour pouvoir se protéger. C’est cette partie là en somme qui doit être assez forte pour résister à la brûlure de l’asphalte.
Il faut cependant faire attention au moment de l’acquisition de vos gants moto, ceux qui disposent uniquement d’une étiquette CE répondent aux termes de la directive mais pas à la norme EN 13594, certifiée par un laboratoire indépendant. S’ils font partie d’un stock ancien et qu’ils peuvent encore être utilisés, il est toutefois préférable d’acheter une paire de gants qui répond à la nouvelle version de la norme.
Les gants homologués qui répondent à la norme
Il n’y a pas mille et une manières pour reconnaître les gants à moto et scooter homologués et exigés par la loi à partir du décret de septembre 2016. Le seule et unique élément, qui permet de les identifier et de les reconnaître par son porteur comme par les forces de l’ordre chargé d’en faire le contrôle, sont les étiquettes spécifiques à leur norme. On les retrouve à la base des gants, côté intérieur, elles comportent le logo CE et le pictogramme du motard. On y découvre aussi leur marque de fabrique, leur référence dans le catalogue de la marque sous forme d’une suite de chiffre. Mais le plus important est de retrouver les étiquettes suivantes et connaître leur signification.
Les sigles et Certifications.
Cette étiquette indique que les gants ont bien été certifiés suivant le protocole mis en place par l’État et les laboratoires avant que la dernière version de la norme en vigueur (EN 13594 : 2015) ne soit validée.
Les gants que l’on fabrique aujourd’hui ne comportent pas cette étiquette devenue obsolète, même s’ils sont encore présents dans les rayons des magasins et qu’ils peuvent être portés sans risque de contravention.
Celle-ci indique la certification des gants moto par un laboratoire indépendant, suivant l’exigence de la réglementation pour tous les gants de catégorie 2.
Il passe avec succès les tests des produits qui répondent au premier (1er) niveau de la norme, même si les renforts supérieurs, facultatifs pour la norme, s’y trouvent absents.
Celle-ci indique la certification des gants moto par un laboratoire indépendant, suivant l’exigence de la réglementation pour tous les gants de catégorie 2.
Il passe avec succès les tests des produits qui répondent au premier (1er) niveau de la norme ; les renforts supérieurs, facultatifs pour la norme, se trouvent présents.
Celle-ci indique la certification des gants moto par un laboratoire indépendant, suivant l’exigence de la réglementation pour tous les gants de catégorie 2.
Il passe avec succès les tests des produits qui répondent au 2nd niveau de la norme ; les renforts supérieurs, obligatoires pour la norme, se trouvent présents.
Pour se conformer à la loi, il est donc nécessaire que le logo CE de même que le pictogramme du motard et le numéro de la norme se retrouvent sur les étiquettes des gants. L’ensemble des nouvelles collections qui se trouvent en magasin doivent aujourd’hui présenter ce pictogramme, plus un livret explicatif joint aux gants, les fabricants ayant eu tout le temps pour se préparer.
Néanmoins, si vos gants moto date de deux ou trois ans et porte uniquement l’étiquette CE, accompagnée de la mention 89/686, vous n’aurez pas de problème auprès des policiers et des gendarmes qui auraient à vous contrôler. Ces gants sont normalement conformes à la directive qui se rapporte aux équipements de protection individuelle.
Obligation : Équipement Moto CE – Dès janvier 2018 !
Les motards tenus de porter un équipement homologué CE dès janvier 2018 !
Motards, soyez rassurés, le gouvernement vous laisse encore libre de choisir le modèle de votre deux roues, mais votre équipement, lui, devra être estampillé CE. Contrôles et contraventions débuteront dès le 1er janvier 2018.
La sécurité routière au cœur des préoccupations du gouvernement
Après avoir fait de la lutte contre les comportements dangereux et des excès de vitesse son cheval de bataille, l’État se penche maintenant sur les équipements de sécurité. Même si la catégorie des véhicules à 2 roues tire plutôt bien son épingle du jeu avec un nombre annuel de décès relativement stable, le motard se trouve aujourd’hui dans le collimateur du ministère de l’Intérieur. Les usagers vulnérables, entendez par là les piétons, les cyclistes et les motards représentent à eux seuls 40 % des tués sur la route, un chiffre en comparaison avec leur faible représentation qui parle de lui-même. Dès le 1er janvier 2018, tous les conducteurs de deux, trois ou quatre roues motorisés, devront porter un EPI répondant obligatoirement aux normes européennes. Après le port des gants requis, inscrit dans le décret n° 2016-1232 du 19 septembre 2016, le port du pantalon et du blouson Made in CE devient une obligation légale. Se pose alors la question des libertés individuelles et jusqu’où va aller l’encadrement du conducteur des deux roues.
Les accros de vitesse sont déjà de plus en plus nombreux à privilégier les circuits, dernier endroit où ils peuvent s’adonner à leur passion sans risque de contrôles. Un choix engendré par la constante augmentation du nombre de radars sur le territoire français.
Était-il donc nécessaire de durcir le règlement sur les équipements de protection individuels pour le motard ?
Blouson et pantalon obligatoire dès le 50 cm³
Il semble que oui, car 70 % des victimes d’un accident grave de la route sont des motards. À quoi il faut ajouter les blessures de moindre importance dues aux chocs provoqués par une chute ou une glissade. Brûlures, entorses, fractures, la plupart de ces lésions pourrait être limitées, voire évitée avec le port d’un équipement adéquat. Si la plupart d’entre nous sont d’accord sur le fait que l’EPI est utile, doit-on pour autant intervenir dans le choix de celui-ci ?
Un contrôle renforcé des EPI dès le 1er janvier
Vous vous demandez certainement comment vont se dérouler les contrôles et c’est bien légitime. Sachez que vous pouvez faire l’objet d’un contrôle à tout moment dès lors que votre engin est sur la voie publique. Il sera de votre devoir de prouver que votre équipement et celui de votre passager respecte les normes CE. Pour cela, différents moyens sont à votre disposition comme :
• la présentation des étiquettes de votre blouson et de votre pantalon
• la présentation des notices descriptives comportant les informations liées à la sécurité et aux normes CE fournies lors de l’achat
• le téléchargement immédiat d’une fiche produit complète de votre équipement
• la présentation d’un « inventaire d’EPI », un document que vous devrez faire établir dans un commissariat sur présentation de votre équipement
En cas d’incapacité à prouver la conformité de votre équipement, ou en cas de gêne – on pense notamment aux motardes ou aux passagères – le conducteur et son passager peuvent se rendre l’agent au commissariat pour une vérification à l’abri des regards indiscrets. L’agent est en droit de verbaliser tout motard qui refuserait le contrôle. Les autres devront s’assurer que leurs étiquettes soient lisibles et que le logo CE y figure bien. Toutes les personnes refusant de se soumettre aux vérifications d’usage recevront un premier avertissement avant d’être verbalisé à hauteur de 90 € et d’un retrait de 2 points sur leur permis de conduire. En cas de récidive, l’immobilisation de la moto sera ordonnée.
Les normes appliquées aux équipements de protection des motards
Rares sont les motards capables de faire la différence entre le niveau de protection de deux pièces d’équipements. Pour beaucoup d’entre eux, le style aurait tendance à primer sur la sécurité. C’est donc là que devient utile la norme CE. Les normes européennes sur les EPI ont été conçues pour que les fabricants d’équipements proposent des pièces solides et protectrices dans le cadre de l’utilisation pour laquelle elles sont créées. Basée sur la directive 89-686, la fabrication d’EPI doit répondre à une nomenclature bien précise. Ceux destinés aux conducteurs de deux-roues de plus de 50 cm³, sont issus de la catégorie 2. Les différentes pièces de l’équipement, à l’exception du casque, qui ne rentre pas dans cette règlementation, sont soumises à des tests. Elles devront résister aux impacts, à l’abrasion, à la perforation, à l’éclatement et au déchirement. D’autres tests secondaires, qui ne concernent pas directement la sécurité du motard sont également réalisés. Selon les zones d’impact, le blouson et le pantalon sont capables de résister un certain nombre de secondes à l’abrasion, 4 secondes pour une vitesse moyenne sous les 50 km/h, 7 secondes, soit l’équivalent d’une chute à 110 km/h pour les véhicules plus puissants. Les zones d’impacts notamment, les épaules, les coudes, les hanches et les genoux sont également renforcées, et doivent être protégées par une coque homologuée respectant la norme 1621-1.
Pour ou contre le contrôle des EPI à moto ?
Il est sûr que ce sujet divise et va faire parler de lui dans le milieu. Si l’obligation de porter un équipement complet ne peut qu’être bénéfique pour la sécurité, le contrôle de son origine porte à questionnement. Certains parlent déjà d’une mise à l’écart d’une population qui se verrait privée de circuler à moto faute d’un équipement aux normes. D’autres se questionnent sur l’intérêt réel pour les 50 cm³ d’un tel niveau de sécurité. Dans tous les cas, dès le 1er janvier 2018, rouler en jeans ne sera plus permis, une liberté de plus retirée aux pilotes. Il ne reste plus qu’à sensibiliser encore un peu plus les conducteurs à la présence des deux roues sur les routes, car c’est sur ce terrain que se joue véritablement la sécurité des motards.
10 bonnes raisons de Ne Pas Acheter durant les Soldes
1- Votre budget est toujours le même
En effet, lorsque c’est les soldes, vous pouvez avoir l’impression d’avoir du pouvoir d’achat, mais ce n’est pas le cas. Si c’est la crise pour vous le reste de l’année, se sera toujours le cas pendant les soldes. N’oubliez pas vos priorités, et ne vous mettez pas dans la tête que vous allez réaliser de grandes économies. [Lire plus…]
Comment bien choisir son équipement moto ?
Choisir son équipement moto demande un peu de réflexion. Cette réflexion porte sur votre budget et l’utilisation de votre moto. Un équipement moto étant dispensable, il faut prendre le temps de bien comparer les produits, les marques, et les matières premières. Ce n’est pas du temps perdu, puisqu’un équipement peut coûter entre 500 et 1 500 euros. En cherchant bien, vous pourriez économiser [Lire plus…]
L’intérêt d’un sur-pantalon à moto
Chaque année, d’innombrable vie sont sauvées sont sauvée grâce à la ceinture. Il en est de même pour les deux-roues avec le port de casque. En effet, ne jamais rouler sans son casque sur un deux-roues. Mais il ne faut pas oublier qu’il faut également [Lire plus…]
Pour rouler à moto il faut bien s’équiper !
Normalement chaque motard devrait détenir un bon équipement moto, être formés et alertés de tous risques routiers encours, quand on circule à moto.
Et pourtant, malheureusement un grand nombres motocycliste ne s’équipe pas correctement et, ou en conséquence !
Formation et informations
De plus en plus d’auto-écoles exigent une tenue minimum pour leurs nouveaux adhérents, souhaitant passer leur permis A, étant eux même impliqués dans l’obligation de leur assureur, n’ayant aucune couverture dans le cas inverse surtout en cas de sinistre.
Les jeunes motards seraient beaucoup plus souvent détenteur d’un bon équipement moto, plus sensibilisés sur les dangers et mieux informés sur le réel besoin, du port de vêtements de protection individuelle.
Peut être bien. Qui serait capable de repasser son permis et son code sans avoir aucune crainte de ne pas détenir le fameux papier rose ?
Équipement inexistant chez certains conducteurs
Tous les étés c’est la même rengaine, on croise et dépasse régulièrement des imprudents qui se baladent au guidon de gros cubes en short et t shirt, voir tongs et bien évidement sans les gants. ( sans compter la passagère qui est bien souvent encore plus vulnérable)
Phénomène plutôt sudiste, mais restant tout de même une pratique nationale ( géographiquement parlant ) est en recrudescence encore chez un trop grand nombre de motards jeunes ou moins jeunes, roulant à moitié nus et sans aucun équipement.
Ou est l’évidence et la responsabilité personnelle du pilote devant cette prise de risque ?
Batailles sécuritaires et marchandages médiatiques
Actuellement, nous sommes face à un bras de fer entre FFMC et le gouvernement français, sur le port et la sensibilisation de l’importance des vêtements de protection pour tous les motards, contre le fameuse solution 2.0 : du port obligatoire du brassard réfléchissant, au 1er janvier 2013.
Conclusion
Ces prochains mois, il sera de plus en plus difficile de rouler mal équipé, vu la réforme arrivant à grands pas avec les contrôles qui en découlent ?
Nous restons dans une confusion globale sur l’avenir de la sécurité routière en France, tout en durcissant la législation, sans véritable solution.
Qui doit lutter contre l’inconscience de certains, au détriment des libertés individuelles ? Doit on faire des campagnes de prévention et de sensibilisation pour les usagers, de la route ?
Acheter un Blouson Moto cuir AliExpress ?
Blouson moto cuir : Pourquoi faut-il éviter d’acheter sur aliexpress ?
On le sait, le blouson est le premier symbole d’appartenance à la grande famille des motards. Face à une offre importante sur le marché, il est parfois difficile de s’y retrouver. Aujourd’hui, les achats en Chine sont de plus en plus nombreux. Succomber à la tentation d’acheter un blouson moto pas cher sur un site chinois peut alors se tolérer. Cependant, mieux vaut ne pas lésiner sur l’équipement qui constitue la protection indispensable du motard contre les aléas climatiques, ou en cas de chute. Autrement dit, nous vous conseillons de proscrire le “made in China” si l’on tient à sa peau !

Retours Produits / Échanges de tailles
Choisir la bonne taille de vêtements à distance, n’est pas une mince affaire, et en Chine, encore moins ! N’étant pas françaises, les tailles proposent très souvent un mauvais sizing. C’est un fait, les Chinois n’ont pas la même morphologie que nous. Les retours et échanges de vêtements sont donc nombreux sur les achats en ligne en provenance de la Chine. Alors oui, il existe quelques solutions pour retourner un produit et se le faire rembourser. Vous devrez fournir toutes les preuves de la défectuosité produit, non-conformité à la description, pour espérer un échange. Autrement dit, un parcours du combattant vous attend !
Pour information, un retour en Colissimo vers la Chine coûte en moyenne 55 € pour ce type de produit. Réfléchissez, avant de commander un article “blouson moto pas cher” sur un site étranger, les retours sont bien trop souvent onéreux.
Droits de douane
Pour information : les droits de douane sont des impôts prélevés sur une marchandise étrangère importée lors de son passage à la frontière. Ces frais peuvent doubler le prix de votre achat et même être plus cher que le prix initial du produit. Cette pratique cherche à décourager le consommateur et aide à favoriser les industries locales.
Lors d’un achat à distance (Asie), la réception d’un colis est soumise à des formalités douanières, et à une taxation.
Mauvaise nouvelle : cherchant à se dédouaner de tout risque lié au mécontentement d’un client, le site chinois ne se tient en aucun cas responsable des taxes qui seraient perçues par le pays de destination. En bref, si la France facture un tarif douanier, cela ne le tient pas pour responsable.
Il y a une réelle demande en Europe pour les produits Chinois, mais beaucoup de personnes sont malheureusement freinées par la perspective de taxation pouvant ainsi doubler le prix d’achat, voire plus.

Copies et Contrefaçons : gare aux mauvaises surprises !
Ces dernières années, et cela, dû au développement de la vente par internet, énormément de produits de mauvaises manufactures, ont fait leur apparition, notamment dans le secteur du commerce de vêtement moto.
La Chine est devenue célèbre pour ses contrefaçons et la copie est un sport national là-bas ! C’est un réel problème pour toutes les marques en général, et ce phénomène ne semble pas près de s’arrêter. Tout cela est un manque d’innovation et de créativité, la Chine ne peut alors que piquer des idées au reste du monde.
En théorie, sur cette plateforme de vente en ligne, la contrefaçon est interdite et sanctionnée. En pratique, c’est une tout autre affaire, les vendeurs de ce site parviennent à trouver des astuces comme : camoufler la marque ou le logo sur la photo présentant leur produit, ou changer 1 ou 2 lettres dans le nom de leur marque.
Les copies sont parfois difficilement reconnaissables des originaux, il est donc assez facile de se faire avoir.
Imitations Cuirs
Attention à l’imitation cuir ! Il y a très souvent confusion et tromperie entre un véritable cuir et un faux. Le cuir : matériel issu d’une peau animale. Son homologue est fabriqué en matières plastiques et composés de matériaux chimiques, pouvant être pour la santé et pour l’environnement.
Une réglementation qui interdit le traitement au fumarate de diméthyle (DMFu) des produits fabriqués dans l’UE, ne prévoit, en revanche, pas de restriction à l’importation des produits traités avec cette substance dans l’Union. Il a été prouvé que cette substance, destinée à prévenir les moisissures susceptibles d’endommager les produits en cuir pendant leur transport ou leur stockage dans une atmosphère humide, aurait des effets nocifs sur la santé : irritations, allergies, maladies de peau…
Il est fortement recommandé d’orienter son choix vers un blouson en cuir authentique, qui est, sans conteste, le plus protecteur de tous. Le cuir est une matière noble, obtenue de la peau animal, qui respire et qui garde sa tenue et ses couleurs au fil des années ; il est synonyme de qualité et de durabilité. En France, et à l’international, notre industrie met tout en œuvre pour protéger cette appellation et veille fermement à ce que son utilité et sa spécificité soient reconnues et préservées.
Finitions et Qualité
En toute logique, un blouson moto pas cher et bon marché est fabriqué dans des matériaux low-costs et donc de qualité médiocre, avec des problemes rapides de : rupture des boutons-pression, zip cassé, poches et doublures internes qui lâchent après quelques semaines d’utilisation, voir quelques jours… La provenance de votre blouson est donc un « indicateur essentiel ». Tout repose sur la qualité, mais aussi sur l’éthique dans laquelle il a été fabriqué !
C’est bien connu, ce sont les petits détails qui font tout ! Mais, un petit détail mal confectionné peut se transformer en gros inconvénient. C’est pourquoi, il est important d’acheter un vetement d’équipement de protection individuelle (EPI) dans un magasin spécialisé. De ce fait, vous pourrez le toucher et l’essayer, au lieu de faire l’erreur de d’achater un blouson moto pas cher, sans garantie… Il faudra être très attentif aux finitions, observer toutes les fournitures qui composent le vêtement : boutons, fermetures éclairs… Et vérifiez que celles-ci soient bien cousues, solides et renforcées au fil kevlar, pour une sécurité et longévité maximale.
En bref, les finitions intérieures et extérieures doivent être propres, soignées et bien réalisées, permettant au vêtement de bien se conserver dans le temps.
Bien entendu, plus le circuit est court, « made in France » ou « made in Europe », plus il y a de chance pour que le blouson ait été fabriqué dans de bonnes conditions !
On ne peut pas tricher sur un blouson en cuir ! C’est un achat durable, un investissement d’une valeur sûre. Lorsqu’on achète un équipement, c’est pour que celui-ci dure le plus longtemps possible et qu’il soit confortable. Il faut alors bien faire la différence entre un vêtement jetable et un vêtement de qualité.
Normes de sécurité
Des vendeurs sans scrupules se spécialisent particulièrement dans les produits cheap et discounts, défiant alors toutes concurrences. Les prix sont tellement bas, que les frais de port sont même supérieurs à votre achat initial ; mais sans aucun critères qualitatifs, ni garantie de conformité aux normes européennes !
Vous risqueriez alors de recevoir, certes, un blouson moto pas cher mais doté de protections en vulgaire mousse, pas du tout résistantes en cas de choc et surtout non-conformes aux normes CE. Voire même, des doublures synthétiques qui peuvent brûler et s’incruster dans la peau sous l’effet d’une glissade. Il faut donc ne jamais oublier que le “made in China” n’offre aucune garantie, qu’il n’y a aucun contrôle des autorités européennes, ni analyses de laboratoires agrémentés et que les produits sont vendus sans certification.
C’est pour cela qu’il est vivement conseillé de ne pas faire d’achat de produit en provenance des pays comme la Chine ou la Thaïlande. Et encore moins via des sites internet inconnus ou des plateformes étrangères n’ayant aucune responsabilité, et ne donnant aucun recours en cas de vis ou d’avarie sur votre produit.
De plus, la logique aurait voulu qu’une veste de moto soit obligatoirement muni de protections contre les chocs, avec des renforts aux coudes, aux épaules et dans le dos. Mais à l’heure actuelle, aucune norme n’impose ces protections. Cela ne doit pas empêcher de s’équiper sérieusement pour sa propre sécurité, et donc, d’investir dans des équipements de qualité. Choisir un vêtement homologué par la norme européenne EN 13595 vous sauvera peut-être la vie. Celle-ci est un gage de qualité surtout au niveau de la résistance à l’abrasion en cas de chute.
Risques pour le motard
Le motard n’a ni carrosserie, ni ceinture de sécurité et bien souvent pas d’airbag pour le protéger.
Quelle que soit la cause de l’accident, le seul moyen d’éviter les séquelles est d’être correctement protégé. L’équipement n’est pas seulement un accessoire, c’est l’armure du motard ou du scootériste. C’est lui qui l’enveloppe et le protège, il est sa seule protection quand il rencontre un obstacle sur la route.
Lors d’une chute ou d’un accident, toutes les parties du corps subissent des lésions spécifiques : fractures, entorses, brûlures, ecchymoses… La matière de l’équipement doit être renforcée et de bonne manufacture, afin de diminuer le risque de brûlures et d’assurer une résistance, à l’abrasion optimale. Un bon blouson vous accompagnera de nombreuses années, donc choisi avec le plus grand soin. Cette précaution est donc logique, le bas de gamme est à proscrire !
Conclusion
Vous êtes motard ou scootériste et souhaitez acheter un blouson moto pas cher ? Alors toujours tenté par la plateforme aliexpress ? Retenez alors les conseils bienveillants de cet article : acheter un blouson “cheap” est une grossière erreur ! Vous n’aurez aucune garantie SAV, pas de recours juridiques et vous prendrez d’énormes risques. En cas de chute, vous risquez gros avec un “cuir” non-homologué et de qualité médiocre sur le dos. Alors, vigilance lors de votre achat, ou investissement dans votre équipement. Faites le bon choix et… Bonne route !
A quelle Catégorie De motard Appartenez Vous ?
Les accidents sur les routes françaises en moto sont plus nombreux que ceux en voiture. Conduire un 2 roues demande une certaine maîtrise et en l’absence de carrosserie le risque est plus élevé. Un motard ne possède aucune protection hormis ses vêtements. Il est donc vulnérable et à dès lors plus de risque d’avoir des séquelles corporels et matériel tragiques à chaque incident.
Un motard doit prendre conscience de ces risques. En fonction de la personnalité de chacun et du degré de sensations recherchées, on dénombre différentes catégories de motard. A quelle catégorie de motard appartenez vous ?
Les Différentes Catégories de Motard
On dénombre selon les sources de l’observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), que seulement 2% du trafic sont des motos. Et pourtant parmi ce pourcentage relatif, 6200 des motards sont blessés et 760 décèdent d’un accident en 2 roues. Malgré une baisse significative ces dernières années de ces chiffres en 2011, les motards doivent rester prudents et vigilants. On a diminué le nombre de tués depuis cette année à 612 en 2016. Au premier trimestre 2017, ce chiffre tend encore à la baisse. Toute fois les motards sont concernés dans 1 accident de la route sur 4. Même si une moto et une voiture roule à la même vitesse, un motard a 20 fois plus de risque d’avoir des suites graves qu’un automobiliste.
Un motard se différencie d’un autre selon l’usage dont il fait de sa moto et de son comportement.
Ces différentes manière de conduire une moto font ressortir 2 grandes catégories de motard :
ceux ayant une conduite à risque et ceux ayant une conduite prudente.
Chaque motard ne réagit pas de la même façon face aux risques et adapte des attitudes opposées.
Une étude mené par la société « TNS-Sofres » en mai 2009, démontre 5 catégories de motard.
Grâce à 639 interviews auprès de conducteurs de 15 ans et plus, un profil des conducteurs de 2 roues a été déterminé et associant les risques pour chacun auxquelles ils s’exposent.
On discerne 2 catégories de motard et 5 profils distincts.
Dans la catégorie des motards à conduite prudente, on identifie :
les modérés
les stressés
les sereins
Dans la catégorie des motards à conduite à risque, on distingue :
les passionnés
les transgressifs
La Conduite Prudente
Les Modérés
Les modérés représentent 20% des motards sur la route.
Ils ne conduisent leur moto que lors des weeks end et en vacances. La moto symbolise pour les modérés un mode de transport accessoire.
La moto est un loisir et synonyme de repos. Elle leur permet de se changer les idées et de s’évader.
Les modérés recherchent le bien-être en moto plutôt que les sensations de vitesse. Ils possèdent des motos de type « custom ». Ils ne commettent pas d’infractions particulières tant la moto est un plaisir.
Les Stressés
Les stressés représentent 16% des motards sur la route.
Ils n’utilisent leur moto que pour se déplacer facilement. La moto est un moyen de transport secondaire. Les stressés n’ont donc pas une forte expérience de la conduite de 2 roues. La moto leur provoque un stress car ils ressentent une forte insécurité sur la route. Plus vulnérable, les stressés ont en tête les circonstances provoqué en conduisant une moto et les conséquences d’un accident grave. Ils ont une préférence pour les scooters et circulent sur les voies leur étant réservés. Les stressés ont conscience des risques autour d’eux et sont beaucoup plus prudents avec les autres automobilistes sur la route.
Les Sereins
Les sereins représentent 24% des motards sur la route.
Ils conduisent quotidiennement leur moto et respectent le code de la route en vigueur.
La moto est pour les sereins un mode de transport fréquent mais ont aussi un plaisir de conduire un 2 roues. Ils ont une meilleure anticipation des difficultés de conduire une moto et adaptent leur vitesse dans toutes circonstances. Les sereins sont responsables, ne prennent pas de risques et ont conscience du danger.
Ils possèdent de fortes compétences en matière de distance de sécurité et les techniques de freinage d’urgence ou d’évitement. L’usage régulier de la moto leur offre une grande expérience de la route.
La conduite à Risque
Les Passionnées
Les passionnés représentent 22% des motards sur la route.
La moto est une passion et s’enivre d’aller rouler. Les passionnés ont une identité « motard » forte. Ils aiment la vitesse, se sentent puissant et cherche à dominer le risque.
Les passionnés font ainsi parti d’une communauté et assimile la moto à un sport. Ils ont tendance à rouler sur des sportives ou des roadsters. Les infractions les plus commises sont par conséquent les excès de vitesse.
Les Transgressifs
Les transgressifs représentent 18% des motards sur la route.
Ils conduisent une moto afin de les amener d’un point A à un point B et ne recherchent aucun plaisir ni émotions. La moto est un usage pratique pour se déplacer. Les transgressifs conduisent une moto pour leur permettre de réduire les temps de trajet et se dispenser de prendre les transports en commun.
Ils n’ont aucun conscience de la route et ne respectent pas son code afin de gagner du temps.
Les transgressifs se sentent prioritaires et ont un usage particulier pour les petite cylindrée ou les scooters.
Plus rapide donc, ils n’hésitent pas à prendre des sens interdits, de ne pas marquer l’arrêt au stop, de circuler sur les trottoirs ou encore de remonter les files.
Peu importe le type de moto que possède un motard. Un motard doit prendre conscience des risques lorsqu’il conduit un 2 roues. Il doit savoir adapter sa conduite en fonction de ses besoins et dans quelles circonstances.
Une conduite inadaptée peut générer des conséquences graves. Il est donc vitale de s’apercevoir de ses limites. Les différentes catégories de motard viennent du fait que chaque motard à sa propre manière d’appréhender les risques et de réagir face aux dangers sur la route. Conduire un 2 roues procure des sensations tout à chacun. Nous évaluons pas tous de la même manière les risques qu’engendre la conduite d’une moto.
Comment Bien Choisir sa Doudoune ?
Chaque année, la tendance change et évolue en matière de mode mais il y a des vêtements qui demeurent intemporels comme la doudoune. Certes, elle a été mise de côté pendant un certain temps au profit des trenchs, des pulls oversize, la parka ou des bombers… et la liste est longue.
Mais aujourd’hui, elle renaît de ses cendres pour retrouver son piédestal dans le dressing. Ce grand retour en force, on le doit comme d’habitude aux stars de l’écran qui ont ce talent de rendre tendance n’importe quel accessoire de mode.
Et surtout les stylistes qui ont su redonner un coup de frais à ces vêtements afin de hausser leur cote. Figurant parmi les must-have pour cet hiver 2017, va-t-on l’adopter ou non ? Faisons un petit tour d’horizon sur le sujet.
La doudoune comment la porter ?
Quoi de mieux qu’une doudoune pour affronter l’hiver ? Elle est légère, parce qu’elle est généralement fourrée de plumes. Elle est aussi confortable, si bien que lorsqu’on la porte, on a l’impression d’être bien au chaud sous la couette. Et par-dessus tout, elle est stylée. Ce qui fait d’elle un allié idéal pour se mettre à l’abri du froid ; surtout quand elle se dessine dans ses nouvelles coupes, beaucoup plus dans l’air du temps.
Sur le marché, il en existe pour tous les goûts et pour tous les styles allant de la doudoune large et hyper gonflée à la doudoune dégonflée et ajustée à la taille ; ou bien la doudoune courte et la doudoune longue, celle à manches courtes et à manches longues… Nous laissant un maximum de choix, le gros dilemme est maintenant de savoir comment la choisir et comment la porter au quotidien pour rester « in »?
La première règle est qu’à chaque silhouette, sa doudoune ! Pour les personnes de petite taille, préférez le modèle court et cintré. Ou bien, faites dans l’extrême en optant pour le modèle large sans pour autant avoir l’air de nager complètement dedans. Au contraire, les personnes de grande taille tout comme ceux qui sont minces peuvent se permettre de porter la doudoune longue, matelassée et épaisse. Quant aux rondes, il vaut mieux miser sur la doudoune courte mais fine et simple qui marque mieux la taille.
Seconde règle de base, il faut savoir l’adapter à sa tenue. La doudoune est peut-être un vêtement à la mode, mais elle peut vite virer au faux pas si on la porte mal. La doudoune sans manche et la doudoune bombée par exemple, sont faites pour terminer le look et se portent donc sur une chemise, un gilet, un pull ou une veste. La doudoune fine, qu’elle soit courte ou longue, peut très bien se faufiler sous le manteau. En dernier, à moins d’aller faire une partie de ski, la doudoune ne doit juste pas se porter avec un total look sport parce que trop de sportwear tue le sportwear !
La doudoune d’aujourd’hui ne ressemble plus au style hyper bombé qui nous fait l’effet du Bibendum, le célèbre bonhomme Michelin d’avant. Elle s’adapte mieux à l’époque où nous vivons et se décline dans des coupes infinies mais tendance pour que toutes les personnalités puissent trouver celle qui leur ressemble. Focus sur le sujet.
Les différents styles de doudoune (Sportive / Luxe / Casual)
Parmi les différents styles de doudoune, il y a les modèles sportwear. Il s’agit là de son style d’origine. Effectivement, autrefois, ce vêtement fourré de duvet d’oie de façon matelassé, créé dans les années 1930 par Eddie Bauer était réservé aux sports d’hiver comme le ski, la randonnée ou les escalades en montagne… Un peu plus tard dans les années 1980, les créateurs de vêtements de grandes marques ont ensuite créé une version à non usage sportif qui a vite été appréciée parce qu’elle allie tendance, confort et praticité. Jusqu’à aujourd’hui, elle continue de se porter comme tenue de sport et comme vêtement « sport-chic » d’hiver.
Généralement, la doudoune ne se conjugue pas du tout avec la tenue correcte parce qu’elle s’accorde mieux avec tout ce qui est tenue de sport ou streetwear. Mais aussi étonnant que cela puisse être, elle s’inscrit désormais dans un registre résolument chic et correct. Elle se porte sur une chemise, un blazer ou une petite robe pour aller travailler. Elle est aussi parfaite pour décaler une tenue de soirée classe avec des chaussures (bottines, escarpins, …) faites pour les grandes occasions. La règle d’or est juste de casser la doudoune avec des pièces élégantes.
Puis, il y a la doudoune qui se porte au quotidien ou le week-end parce qu’elle s’accorde avec presque toutes les tenues de ville. Effectivement, elle offre un rendu très casual quand on l’associe avec un pantalon jean et des baskets ou bien des ballerines. Si bien qu’elle est vite devenue LE vêtement incontournable pour paraître « branché » et « cool ».
Avec ou sans capuche ?
Par la suite, on trouve la doudoune avec ou sans capuche. Souvent, choisir entre ces deux options relève d’un véritable casse-tête. La capuche a-t-elle un rôle si important ? La réponse est OUI !
La capuche est devenue un détail crucial pour garder sa tête bien au chaud. On dit que 30 à 40% des pertes calorifiques dus au froid passent par la tête ce qui rend la capuche très pratique en hiver.
La doudoune Avec ou Sans Fourrure ?
Enfin, le dernier mais non le moindre est la doudoune avec ou sans la fourrure. Qu’elle soit synthétique ou animale, la fourrure sur la capuche joue aussi un rôle important. Non pas celui de tenir la tête au chaud mais de la protéger du vent latéral.
Fourrure Véritable ou Fourrure Synthétique ?
Peu importe donc qu’elle soit vraie ou non, l’essentiel est d’en posséder un volume conséquent de poils sur la capuche afin d’atténuer l’air qui frappe directement sur le visage. En cas de grand froid, une doudoune à fourrure est juste l’idéale. Mais on l’aime aussi parce qu’elle apporte une touche entre le rock et l’urbain, de quoi être tendance même sous la neige.